LES GUERRES QU’ON NE VOIT PAS/NOUS LE PEUPLE SANS BANQUE
Nos dirigeants ? Ils parlent de stabilité,
Tandis que nos ventres se creusent de promesses,
Ils signent des accords dans la pénombre des réalités,
Et leurs sourires sèchent nos tristesses.
Mais le peuple, lui, endure.
Il apprend à rire avec la douleur,
À bâtir des maisons de courage avec des pierres de rien,
À espérer, même quand le ciel s’écroule.
Il Est Temps D’élever Nos Voix
Ceux qui tiennent le pays debout, alors que tout pousse à tomber.
Élever nos voix pour nos lendemains.
Parce que nous refusons que demain soit une copie d’hier.
Parce que le silence est devenu une prison. Et que nous voulons respirer.
Parce que chaque province est un cœur. Et qu’aucun ne doit cesser de battre.
Brûler Comme Kimpa Vita, Rouler Comme Fatshi
RDC,
Ton sol est plus précieux que tous les coffres du monde,
Mais ton peuple est pauvre…
Pas de cœur, mais de justice.
Pas de paix, mais du silence.
Pas de pain, mais des discours.
Pas d’amour, mais des calculs.
Terre Martyre
Les dirigeants parlent, des promesses en vain,
Pendant que l’ennemi avance sur leur terrain.
Leurs mains sont liées par l’or étranger soudain,
Le Congo se meurt, victime de ce dessein. (…)
Letter to my Motherland
Hopeful, I see your people rise, rising to defy their evil,
Empowering each other, fighting towards their liberation.
Shameful, I reprimand myself for forgetting you,
Alkebulan’s fighters, citizens, soldiers, people, men and women (…)
Je veux y croire à nouveau
Je peux y croire, voir des photons dans ce noir,
Espérer combler le vide, vide de vie.
Le goût me revient enfin, ma vue s’éclaircit,
Je veux croire à nouveau à cet idéal perdu
Oui, tout n’est peut-être pas perdu, espérons (…)